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Après le viaduc ferroviaire, nous remontons à gauche la voie de la 1ère DFL, au bout de vingt minutes de marche, une petite croix en fer "A Crouzeta" et dix minutes plus tard, la chapelle de la Madone des Grâces (Notre Dame des Neiges), du XVIIème siècle, construite à la suite d'un voeu fait pendant la Peste.

Communauté de Breil

Notre Dame du mont

Cette chapelle n'est pas véritablement située au sommet d'un mont, mais plutôt, au centre d'une cuvette abritant une olivaie très dense.

Au XVIème siècle, on l'appelait, selon certains écrits "La Madona de Monte delle Olive" en référence évidente au Mont des Oliviers de l'Evangile. Sa construction date du XIème siècle. Elle fut remaniée au XIIIème. Les peintures murales sont de 1571, exécutées par Augustin Reibaudi (Triora). L'église fut terminée en 1589. La construction du clocher se déroula au tout début du XVIIème, dans un style baroque. Puis, la chapelle fut dévastée par les troupes de passage durant la Révolution française et les guerres européennes dans le haut-pays. 

 

Agostino Cottalorda décora l'autel de St Pierre et de St Paul et en 1841, le "Campanile" retrouva une cloche. Nous sommes alors à une époque de renouveau religieux et le 16 août la fête de l'Assomption se célèbre à la chapelle de Notre Dame du Mont des Oliviers. la tradition se perpétue annuellement.

Sancta Maria In Albis

L’Eglise Sainta Maria in Albis a été bâtie sur l’emplacement de l’ancienne église de la bienheureuse Vierge Marie, sur laquelle on possède très peu de renseignements. Seuls, subsistent trois chapiteaux romans du XIIème ou XIIIème siècle, utilisés comme supports de plaque au Monument aux Mort. On connait le nom de cette église grâce à un acte notarié daté du 13 octobre 1507, fondant la chapelle dédiée aux bienheureux apôtre Pierre et Paul.

La Messe : le 16 août à 10h30

La Messe : le 04 août à 15h30

Notre Dame des grâces

La mise en chantier en 1663 de Santa Maria in Albis par la communauté breilloise qui venait de subir une série de calamités, a été un immense acte de foi en Dieu et en l’avenir du village si éprouvé : la grande Peste de 1631 et son cortège de morts avait emporté une partie des habitants. Le tremblement de terre de 1644 ainsi que d’autres épreuves avaient conduit la communauté à la ruine et à un endettement tel qu’elle avait dû se résoudre à signer avec ses créanciers la « dation en paiement » en 1645. En entrant, après l’escalier menant à l’orgue, se trouve un bénitier appartenant à l’ancienne église. On peut voir aussi, l’écusson de la ville su les orgues.

Les épreuves et les souffrances n’étaient pas terminées. Pendant la durée des travaux, deux guerres ont éclaté : le conflit entre la Savoie et Gênes (1672-1673), suivi quelques années plus tard par la guerre de la Ligue d’Augsbourg qui a duré 8 ans (1691-1699). Deux après la fin du dernier conflit, le duc de Savoie à court de trésorerie inféodait Breil et douze autres communes.

Ces calamités successives et les charges nouvelles n’avaient en rien entamé l’ardeur des Breillois à terminer « leur église », qui fut achevée en 1699, trente-six après sa mise en chantier. C’est sur la place, face au parvis, que le 13 juin 1700 les hommes de la communauté de Breil, un genou à terre, rendirent l’acte d’hommage à leur nouveau seigneur : le comte Octave Solaro de Govone et Vignale, co-seigneur de Valdichiesa, 1er écuyer de la duchesse de Savoie, nièce de Louis XIV. Pour honorer ce grand personnage de sa cour, le duc de Savoie, Victor-Amédée, venait d’élever Breil en marquisat et concédait ce titre au nouveau seigneur du fief.

C’est dans l’église paroissiale qu’un avis du commandement allemand convoqua la population le 28 octobre 1944 à 19h, pour la prévenir qu’elle devait se réunir le lendemain à 6h sur la place du Monument aux Morts pour être dirigée vers une destination inconnue. A pied, encadrée par les Allemands en armes et des agents de la Gestapo, les colonnes furent dirigées vers Tende sous la pluie battante et la neige, puis embarquées en train pour Turin. Ce n’st qu’en avril 1945 que la population fut rapatriée sur la France via la Suisse.

L’église, comme la village, avait été durement touchée par les obus et ébranlée par la destruction du pont voisin. Fermée fin 1965 pour travaux de confortation et restauration, elle fut ré-ouverte et rendue au culte en 1985. La restauration définitive ne sera achevée qu’après la remise en état de la voûte gauche du transept.

La Messe
+ Dimanche à 10h30

Chapelle

St Antoine

de Padoue

Nous sortons du village par le Pont Charabot (face à la Mairie), montons sous le viaduc du chemin de fer. Traversons à droite le ruisseau Lavina, nous atteignons une fontaine en tuf calcaire du début du siècle, puis la chapelle St Antoine de Padoue, reconstruite au quartier Saint Jean pour remplacer une ancienne chapelle démolie par les travaux de construction de la gare, au début deu XXème sicèle.

La Messe : le 13 juin à 15h30

La Messe : le 17 janvier à 15h30

Chapelle

Saint Antoine

l'Ermite

Eglise

Saint

Michel

à Libre

La Messe : le 24 juin à 15h30

Altitude : 470m

Une centaine d'ahbitans prmanents

Hameau rattaché à la france en 1947. Il dépend de la Commune de Breil sur Roya.

+ Quelques maisons anciennes

+ Eglise Saint Michel à clocher latéral et lanternon

+ Petite chapelle votive Saint Jean-Baptiste

+ Chapelle St Jérôme dans la montagne

Construction à usage agricole "casuns" avec des toitures voûtées confectionnées avec une charge de mortier de chaux et de moellons appareillés sur un coffrage amovible en plein-cintre. Ce type de construction est unique dans le département serait du aux raisons suivantes : zone pauvre en gisement se schiste fournisseur de lauze, rareté des affleurements d'argile utilisé pour la fabrication des tuiles.

Libre est un ensemble de sept hameaux perchés dans la montagne, bien entretenus, au milieu des pins et de beaux oliviers. Le hameau principal est implanté sur le sommet d'une crête en forme de selle de cheval. 

Chapelle

Saint

Jean-Baptiste

à Libre

La Messe

 le 29 septembre à 10h30

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